La société en général et les professionnels de la santé sont de plus en plus préoccupés par les effets d’un air de mauvaise qualité et respiré au quotidien sur la santé.

L’air pollué est un problème, surtout dans nos villes. Les zones urbaines concentrent la plus grande quantité d’industries et de circulation routière, et elles réunissent près de 80 % de la population.

Les mesures adoptées ces dernières années pour tenter de résoudre les problèmes les plus graves de pollution industrielle dans les villes ont permis d’améliorer considérablement la situation. Toutefois, avec l’énorme augmentation de la circulation routière, la faible qualité de l’air, due aux émissions des véhicules, continue de représenter un risque important pour la santé humaine.

C’est pourquoi les autorités et l’industrie du transport de voyageurs travaillent résolument pour parvenir à une mobilité plus durable et saine dans les villes.

L’autobus est un moyen de transport public avec une faible capacité de renouvellement de l’air intérieur en raison du manque de systèmes de ventilation. D’autre part, la ventilation est réalisée en introduisant de l’air extérieur dans l’habitacle, et cet air présente également une pollution environnementale. À la faible capacité de renouvellement de l’air s’ajoute le nombre élevé de passagers lors des trajets urbains et la longue durée des trajets interurbains. La qualité de l’air diminue en raison d’une mauvaise ventilation, d’une pollution externe et de sources internes de pollution. En plus de la transmission de virus et de bactéries à travers l’air que nous respirons, il existe une diminution de la proportion d’oxygène dans les habitacles avec peu de renouvellement à cause de la respiration des voyageurs, et nous retrouvons également des impuretés, des particules et des micro-organismes dans différentes parties du véhicule.

En bref, la pollution des villes, la concentration des voyageurs et le renouvellement insuffisant de l’air altèrent l’environnement intérieur des véhicules, réduisant le niveau d’oxygène, augmentant la concentration de micro-organismes et le risque de contracter des maladies, provoquant de mauvaises odeurs à l’intérieur du bus, et entraînant une sensation de fatigue due à la réduction du niveau d’oxygène.

Dans le but d’améliorer la qualité de l’air à l’intérieur des autobus et des autocars, Hispacold a développé eco₃, son purificateur d’air qui évite les mauvaises odeurs et neutralise les micro-organismes, les germes et les allergènes. eco₃ fonctionne en produisant des ions négatifs et de l’ozone dans les bonnes proportions. Il augmente ainsi la concentration d’oxygène, maintient des niveaux sains et empêche le développement d’air vicié à l’intérieur du véhicule.

eco₃ s’installe au niveau de l’aspiration de l’équipement de climatisation, et il se met à fonctionner automatiquement chaque fois que l’équipement de climatisation fonctionne (AC, chauffage, ventilation). Tous ces avantages présentent une très faible consommation électrique, presque négligeable.

Le purificateur d’air eco₃ permet de créer un environnement propre, agréable et sain : les odeurs sont éliminées et la sensation de fatigue des voyageurs et du conducteur du véhicule est réduite.

Le purificateur d’air eco₃ fonctionne de manière continue dans le temps, et il est efficace, durable et sans entretien par rapport à d’autres traitements de désinfection ponctuels à base de sprays ou d’aérosols, dont l’efficacité diminue dès leur application.

eco₃ peut être installé dans les systèmes de climatisation Hispacold, aussi bien dans les nouveaux véhicules que dans les véhicules non équipés à l’origine (post-équipement), pour que tous les clients puissent en bénéficier.

Le purificateur d’air eco₃ a prouvé son efficacité dans les véhicules dans lesquels il a été installé, et il a été testé scientifiquement par la prestigieuse entreprise internationale SGS Tecnos, experte en environnement.